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22 mai 2016 7 22 /05 /mai /2016 16:41

Le bourdon clérical annonça six heures trente. Bianca s’extirpa de son lit douillet avec son flegmatisme légendaire, tandis que Bibiche ronflait comme une locomotive. A peine vêtue, elle consulta le blog du « fadadelacote », site Internet où Dgé raconte des histoires authentiques, mais ô ! Combien loufoques.

Ce jour là, jour de l’équinoxe estival, jour le plus long soi-disant, Bianca tomba sur une étrange histoire écrite par cet idiot de Dgé qui affirme avec une consternante affirmation, que nous vivons depuis quelques années dans un monde où la violence et la dépravation sont au paroxysme.

Bref, sur cette virtuelle vierge page, il coucha quelques événements tragiques qui stupéfièrent Bianca et la population de son village et de ses environs depuis 1418.

Il s’agit de la richissime Comtesse de Tende,dite Reine Jeanne, fidèle épouse du Duc Philippe Marie Visconti qui fut soumise au supplice de la corde, douloureuse opération qui consiste à déboîter par traction les os des bras et des jambes. Ce supplice inhumain lui fut imposé par son bien-aimé, sous prétexte qu’elle le cocufiait.

Lorsque les membres furent disloqués, et avant que le bourreau ne laisse choir la tête de la suppliciée dans la sciure d’un billot de torture, le MLF diligenta une équipe de « femems » afin de solliciter la clémence au noble cocu. Une délégation de lesbiennes manifesta aux abords de la résidence de la future défunte, tandis que la baronne du Poitou-Charentes adressa une pétition aussi longue que la liste des chômeurs hollandistes, au Duc concerné. Maria Taubianowsky resta indifférente aux appels de l’infortunée Duchesse, sous prétexte que ladite Duchesse ou Reine Jeanne, n’avait point opté pour le mariage républicain, union matrimoniale qui abolit la notion de fidélité et de sacré. Dominique, célèbre suppôt des socialistes, obsédé par la chose, implora le pardon par voie diplomatique, hélas ! Cette démarche fut infructueuse. En ce qui concerne le comte Adrianus Justus Fabius, il déclara que la victime était responsable coupable. Même la favorite de François Hache ne put délivrer la pauvre Reine Jeanne. Il faut dire que dans la famille des Visconti on ne plaisante pas avec ceux qui s’opposent à la commune ambition politique, à tel point que son beau-frère Jean-Marie, ami intime de François Hache, laissa mourir sa mère en prison, sous prétexte qu’elle était une entrave pour la conquête du poste de président en 2012

Quelques années plus tard, en 1610, Henri IV, uni par les liens du mariage sacré à Marie de Médicis, fut poignardé par un certain compatriote charentais nommé François Ravaillac, vassal de la baronne du Poitou-Charentes. Les médias affirmaient que Henry IV, incapable de contrôler sa libido, s’éclipsait du palais royal par une porte dérobée, et enfourchait sa motocyclette pour aller se vautrer dans le lit de la fornication, tantôt dans un hôtel lillois, tantôt à New York, afin d’assouvir ce désir inextinguible avec la Dulcinée de François Ravaillac.

Le pauvre cocu ne pouvant accepter la corruption de son mariage sacré, s’arma d’un opinel finement aiguisé et taillada le débauché jusqu’à ce que mort s’en suive. Maria Taubianowsky ayant eut vent de cette coucherie extra conjugale, déclara que le châtiment suprême était le juste salaire pour tous ceux qui souillent le lit conjugal.

Enfin, en 1914, un certain Jean Jaurès, notoire christianophobe, abonné au « Croissant », suppôt de Aristide Briand, et tribun de la plèbe persécutée par les affres de la mondialisation, tomba sous les balles meurtrières de Raoul Vilain.

La morale de cette histoire, c'est qu'aujourd’hui, sur les trois stèles funéraires on peut lire trois épitaphes accusatrices : « Philippe m’a tuer », pour la Reine Jeanne, « François m’a tuer », pour Henri IV, et sur la stèle de Jaurès, inondée par les larmes du Comte Alexandre de Montebourg, « Ils ont tuer Jaurès », tandis que sur le mur de l’église transformée en mosquée, une plaque portait une inscription funéraire : la laïcité m’a tuer.

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8 mai 2016 7 08 /05 /mai /2016 08:19

Tous les amis de Bibiche et Bianca étaient réunis dans l’antre de la cheminée, tous, attendant patiemment l’idiot de Dgé. Le monotone tic-tac de l’horloge comtoise égrainait les minutes et les heures de cette longue et silencieuse attente. A la sixième heure, le mécanisme de l’horloge s’ébranla et carillonna dans une indifférence totale, et au dernier gong, Bianca alluma la télé.

C’était une émission spécialement consacrée aux turpitudes de François Hache et consort. Un verbeux barbu speaker ne tarissait point en éloges pour présenter l’auguste personnage. C’était un notoire suppôt de François Hache, un ami fidèle et sincère, un vrai collabo.

-Le pauvre, lança la brave mère Denise.

-Chut, reprit Bianca, avant de monter le son de la télé.

A la fin de cette minutieuse opération, toute la maisonnée était sidérée tant le narrateur flagornait avec une servilité qui aurait décoiffé la baronne du Poitou-Charentes, le trublion du peuple.

Tel était le préambule de cette émission consacrée au plus nul que nul de la Ripoublique socialiste maçonnique en voie de conversion islamique.

Une pléiade de complices était aux côtés de l’interviewé. Les principaux étaient : le comte Alexandre de Montebourg, réputé pour ses mélanchonades. Le second, c’était François Fillenotti, auteur de l’adage ripoublicain : « faire et défaire, n’est pas un slogan, c’est mon programme pour la France ». A sa droite, François le Béarnais, réputé pour être politiquement ambidextre. Puis, Caïus Sextus Fabianus, récemment libéré du joug des geôliers d’Alcatraz. Le cinquième larron, c’était le sentencier Mario Burgotti, lequel revendiquait véhémentement la légitime erreur judiciaire. Après ce fut le tour de l’idiot de Cyril Babouchkia qui affirmait gaillardement que nul n’est parfait. Sur son tee-shirt l’auditoire lisait : Touche pas à ma connerie ». Nicolas Esse était parmi les hôtes de cette émission télévisuelle. Lorsqu’on lui accorda le droit de parole, il psalmodiait une prière ripoublicaine pour obtenir le pardon du versatile peuple gaulois éternellement mécontent. Puis vint le tour de présentation des dames : Marguerite Steinheil, la putain de la république qui en 1895 prodigua à Félix Faure, instigateur de la loi sur le mariage dénaturé, une dernière et fatale gâterie républicaine. La baronne du Poitou-Charentes qui profita de l’occasion pour dire à son ex concubin qu’il peut renter à la maison, la vaisselle est dans le lave-vaisselle. A sa gauche, Maria Tobianowsky qui déchaînait une violente salve d’applaudissements tant elle fanfaronnait. Puis Nadia Voila Bellekisème, responsable de la chute de l’accent circonflexe de la cime dans l’abîme. Et enfin, Nadia Elconnerie, réputée pour ses nombreuses cagades.

Lorsque les présentations furent terminées, l’inquisitioniste animateur entreprit un cinglant interrogatoire, le premier en lice était le comte Alexandre de Montebourg.

-Entendez-vous le vol noir des corbeaux sur la plaine, et faut-il sortir de la paille les fusils et la mitraille, demanda t-il, au supplicié.

-J’ai ouï dire que, effectivement, l’invasion sarrasine représentait un danger pour le peuple, mais 13% de ces mécréants, s’est rallié à mon panache et ensemble, nous vaincrons pour la ré instauration de l’identité nationale et la sécurité sociale. En ce qui concerne la paille, je suis conscient que l’indigence frappe de plus en plus les pauvres de nous, mais que faire, répondit stoïquement l’ectoplasme du peuple.

-Tous ces invités sont-ils tagués sur le mur des cons, demanda stoïquement le speaker

-Il faut poser la question à Mario Burgotti, répondirent en cœur Juan Emmanuel Valsinsky et François Hache.

-Les bétonneurs de l’équerre, sont-ils condamnés à aller en enfer, demanda malicieusement le speaker à Caïus Sextus Fabianus

- Vous savez bien que la porte du paradis est étroite et le chemin de la perdition est large et facile, répondit l’interviewé.

…Cet interrogatoire se prolongea tard dans la nuit, tant était mécontent le peuple, et prolixe le journaliste. Mais François Hache et consort étaient sereins, posés, calmes et confiants. Leur visage émacier ou adipeux exprimait une secrète satisfaction et un aplomb qui eut déstabilisé un aficionado de la télé. Réputés primesautiers, ils répondaient avec une aisance déconcertante aux nombreuses questions de l’inquisiteur journalistique.

…Lorsque les spots publicitaires sonnèrent le glas de l’émission, Bibiche, Bianca et ses amis étaient exténués et déçus de la prestation de service de François Hache et consort. Aucun espoir de voir un avenir meilleur, disait-elle à ses amis.

-Heureusement que le spectre d’une domination sarrasine se profile à l’horizon du vingt et unième siècle, affirmait débonnairement Choche.

-Il faut êtes optimistes, rétorqua Madame la Colonelle. Nous avons une armada de pédalos à livrer en Inde, et François Hache est une excellent capitaine….

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20 mars 2016 7 20 /03 /mars /2016 18:35

Tous les amis de l’idiot de Dgé étaient réunis dans le petit salon de Bibiche et Bianca, véritable fumerie d’herbes séchées et affinées clandestinement dans des laboratoires de Ouagadougou. Entre deux clopes, le thé coulait en un long filet dans les verres finement décorés par une juxtaposition de liserés circulaires jaune. Le thé et la fumée du bon tabac enivrèrent la petite compagnie qui attendait l’arrivée éminente de l’idiot de Dgé, lequel venait de leur envoyer un SMS., qui indiquait sa proche arrivée.

Quelques instants plus tard, on toqua à la porte. Bianca se véhicula dans le long corridor, puis au terme de ce marathon d’appartement, elle ouvrit la porte, et l’idiot de Dgé la baisa affectueusement, puis s’engouffra avec précipitation jusqu’au salon où se déroulait la bamboche effrénée. Après quoi, un silence religieux envahit le salon, et l’idiot de Dgé narra une nouvelle histoire extraordinaire vécue par François Hache et consorts.

Cette histoire se déroule au troisième siècle après J-C, dit-il avec la gravité qui s’imposait, mais qui laissait néanmoins son auditoire dubitatif. Lislame était au stade embryonnaire, et son hégémonie tentaculaire n’était pas encore inscrite dans son satanique grimoire, bien que les gènes de la haine furent décelés au cours d’une amniocentèse.

Qu’ouïes-je, lança la brave mère Denise à l’idiot de Dgé.

Chut, répondit Madame la colonelle qui buvait chaque parole prononcée par l’orateur, avec avidité.

Bref, François Hache était une racaille que le karcher du pugnace Nicolas Esse, ne put éradiquer. Au cours de sa tumultueuse jeunesse, Il fréquentait assidûment des gens bizarres qui devinrent au cours des siècles, des amis intimes pour le plus grand malheur des Chrétiens. Les plus intimes étaient le comte Alexandre de Montebourg, suppôt stalinien qui émigra frauduleusement en France pour la bolchéviser, le baron Emmanuel Valsinsky, migrant ibérique qui trouva refuse à Calais après s’être fait botté le cul par Franco, le sentencier Mario Burgotti avec sa cour, le sieur François Fillonetti qui revendiquait la paternité du New Deal entreprenarial pour les PME, et François le Béarnais qui confondait depuis sa tendre enfance, la droite et la gauche. En ce qui concerne Nicolas Esse, François Hache affirmait véhémentement que ce n’était pas sa tasse de thé.

Bref, François Hache avait une aversion pathologique pour le mariage dénaturé. Coureur invétéré de jupons, il empruntait toutes les voies romaines pour se rendre aux nombreux rendez-vous galants avec son scooter rutilant. Un jour, il rencontra la baronne du Poitou-Charentes, laquelle fut sienne, jusqu’au jour où la dissolubilité du mariage sacré fut introduite dans la Constitution française. Dès lors François Hache parcourut toutes les routes de France et de Navarre pour conquérir le cœur d’une nouvelle Dulcinée. Le hasard fit qu’il rencontra Maria Tobianowsky, ravissante émigrée, mais ayant eut une déception matrimoniale, il proposa à sa nouvelle dulcinée de concubiner séance tenante, ce dont elle accepta.

Pendant ce temps là, les premiers disciples chrétiens parcouraient inlassablement toutes les voies romaines et les chemins muletiers pour annoncer dans chaque village gaulois, la Bonne Nouvelle. Un jour, deux frères prêcheurs, Crépin et Crépinien, émigrèrent dans la baronnie du Poitou-Charentes. Grâce au New Deal de François Fillonetti, ils s’établirent comme cordonnier, et quelques mois plus tard, ils acquièrent une grande renommée. François Hache et consorts qui eurent vent du professionnalisme de ces Chrétiens migrants qui se distinguaient par leur remarquable intégration sociétale, devinrent des fidèles clients.

Cependant, Crépin et Crépinien accordaient une importance capitale à leur ministère. Tous les innombrables clients recevaient une part de la Parole de Dieu. Et le nombre de Chrétiens français croissait exponentiellement. Mais un jour, en l’an de grâce 286, François Hache, promu César de la Gaule, s’enquit sur le nombre croissant de convertis au christianisme. La baronne du Poitou-Charentes, prêtresse de la laïcité, mandatée par son ex concubin, recensa tous les Chrétiens qui commençaient à envahir la Gaule, au détriment des païens et des barbares. Lorsqu’elle lui annonça le nombre de Chrétiens pratiquants clandestinement leurs rites, le cœur de François Hache s’emplit de rage et de haine contre ce peuple pacifique. Il exigea aux deux paisibles prédicateurs d’abjurer leur foi, ce qu’ils refusèrent naturellement. Alors il sollicita le concours de Mario Burgotti, qui en son âme et inconscience, condamna les pauvres cordonniers prêcheurs au martyr.

C’est ainsi que le comte Alexandre de Montebourg qui détestait les Chrétiens, enfonça des roseaux taillés en pointe sous leurs ongles, mais les roseaux jaillirent des mains des suppliciés et blessèrent gravement le comte.

-Mais ! Il est ignoble ce comte de Montebourg, lança Bianca.

-Chuuuut, reprit Bibiche, avant que l’idiot de Dgé reprenne le cours de sa galéjade

Dès lors, le baron Emmanuel Valsinsky précipita les deux Chrétiens dans la rivière, avec une pierre attachée à leur cou, mais ils flottèrent à la surface. Le pauvre baron éberlué par ce miracle, refusa de renouveler cette cruelle besogne. C’est ainsi que François Fillonetti qui exécrait les Chrétiens, lui aussi, fut désigné pour accomplir la sentence prononcée par Mario Burgotti. Il jeta les deux prêcheurs dans une citerne remplie de plomb fondu, mais une goutte rejaillit dans son œil, et François devint borgne, tandis que les deux suppliciés sortaient miraculeusement du bain. Devant cette succession de miracles, François Hache fit appeler Maria Tobianowsky,deuxième prêtresse de la laïcité, réputée pour avoir professer sa haine contre les Chrétiens. Elle fit plonger les deux Chrétiens dans l’huile bouillante, mais deux anges vinrent les délivrer, tandis que la tortionnaire s’y jeta de rage.

Depuis lors, nul n’a entendu parler de Maria Tobianowsky qui réside dans le pandémonium de Satan, résidence dédiée aux christianophobes.

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22 janvier 2016 5 22 /01 /janvier /2016 18:18
FRANCOIS ET LA TERREUR

Bibiche et Bianca, le colonel et madame la Colonelle, Choche et la brave mère Denise, oyaient avec une attention attentive, la nouvelle histoire concernant François Hache. Cette histoire non frelatée qui eut horripilé la baronne du Poitou-Charentes, le baron Emmanuel Valsinsky et vraisemblablement la très républicaine Maria Taubianowsky, s’ils eussent é des amis communs de l’idiot de Dgé.

Bref, fils de papa Hache qui mercantilisait sa semence de piètre qualité, et de Maman porteuse Hache, fêtarde réputée à chaque saint sylvestre, François Hache naquit dans la première moitié du XVIII siècle, dit l’idiot de Dgé, en guise d’introduction liminaire. De nature chétive, maladive, inconséquente, voir zombique, il inspira le premier souffle de vie en braillant contre tout ce qui n’était pas normal, et expira le premier souffle de haine contre les pauvres Chrétiens qui, sous le joug des christianophobes républicains, périssaient en martyres.

Malgré cette précoce animosité contre les Chrétiens, Papa et Maman Hache présentèrent quelques semaines plus tard, cet énergumène aux fonds baptismaux. Le comte Alexandre de Montebourg étant son parrain désigné, et la pieuse baronne du Poitou-Charentes, la marraine. Ainsi donc, le pauvre enfant allait être immergé dans les eaux purificatrices. Mais à l’approche de cette immersion symbolique, François Hache manifesta énergiquement son aversion pour ce sacrement chrétien. Il braillait comme un enfant perdu, se contorsionnait comme un ver, se débattait énergiquement, bref, il refusait ce bain baptismal. Dès lors, ses témoins et le brave capelan y perdirent leur latin, tant était évident le refus de recevoir ce sacrement.

Quelques années plus tard, François hache fut inscrit dans une école chrétienne. Ses professeurs lui enseignaient avec prodigalité, mais en vain, un enseignement scolastique. François Hache détestait la morale, les bonnes mœurs, la bienséance, les us et coutumes, l’histoire du christianisme et ses nombreuses persécutions. Même sa tenue vestimentaire était négligée, et ses lunettes mal positionnées.

Lorsqu’il devint adulte, il passa brillamment le permis de conduire de scooters, après quoi, il fit de nombreuses randonnées pour découvrir la Gaule, nation industrieuse et agricole qui faisait la convoitise des mahométans. François Hache avait beaucoup de succès auprès des jeunes filles. Parfois, à l’insu de ses parents, il partait avec son scooter pour des rendez-vous galants. Et puis un jour, la France était en larme. Dans le sillage de la Terreur islamique, on comptait les victimes par centaines de milliers, les incendies ravageaient les maisons et les cultures. Les paysans périssaient au fil de l’épée. Les sites chrétiens étaient profanés, les femmes violées, les blasphèmes allaient bon train, tandis que des milliers de Chrétiens et de prêtres réfractaires à la Constitution républicaine islamique, étaient déportés ou exécutés. Les biens du clergé furent confisqués, et les nombreuses fatwas étaient prononcées pour éradiquer le culte divin. Le pauvre François Hache était terrorisé. Pourquoi tant de haine contre les Chrétiens ? Soliloquait-il à longueur de journée.

Un jour, de l’année 1793, il apprit que le pape exhortait le peuple à manifester de la compassion et de la miséricorde à l’égard des fils de Dieu. Dès lors, François Hache s’enquérra sur les causes qui semaient la haine et la terreur dans toutes les provinces gauloises, afin que le pieux vœux papale fut exaucé. Ayant découvert le responsable coupable, il devint agnostique, ce qui n’était pas pour déplaire à Papa et maman Hache.

Quelques semaines plus tard, il annonça officiellement que les républicains mahométans étaient les responsables coupables de la Terreur. Jean baptiste Carrier et Marie-Pierre Francastel exerçaient leur talent de républicain révolutionnaire dans les régions nantaise et Angevine, tandis que Danton Marat et Robespierre accomplissaient leur macabre besogne aux quatre coins de la Gaule, sous couvert du Comité de salut public, institution républicaine récemment créée par Maria Taubianowsky.

Heureusement que le conte Alexandre de Montebourg exaspéré par cette chienlit, sollicita le concours de notre Marine Nationale afin de mettre un terme à la folie républicaine islamisée. Ainsi donc, quelques semaines plus tard, Nicolas Esse, fort de la citation dantoniste « il nous faut de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace, et la France sera sauvée ! » fut promut Amiral et commandant suprême de la Marine nationale. Par le fait de cette charge qui lui échoyait naturellement après avoir assisté aux multiples messes de réparation des églises profanées, il était à la tête d’une armada de vaisseaux, de barques, de briks, de boutres, de corvettes, de catamarans, de voiliers, de goélettes, de frégates, de porte avions, de yoles, et de tout ce qui flottait, à l’exception de la Méduse, pour une massive remigration vers les pays méditerranéens.

Ce gigantesque exode prit fin en 1794, année où Maria Taubianowsky secondée par le sentencier Mario Burgotti, condamna les auteurs de cette révolution à la peine capitale. Le jugement fut sans appel et la sentence exécutée au cours de cette même année. Carrier, Saint Just, Danton, et Robespierre usèrent de la tronçonneuse du docteur Guillotin, ainsi que le célèbre journaliste Camille Desmoulins qui n’avait de cesse de déverser des informations collaborationnistes et mensongères sur TF1, A2, et BFM, au cours de la désastreuse révolution française islamique.

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14 décembre 2015 1 14 /12 /décembre /2015 16:40
LES ELECTIONS

Les élections .

Tous les amis de l’idiot de Dgé étaient réunis dans le petit salon fumoir de Bianca. Tous attendant avec impatience l’arrivée du conteur de galéjades et de bouffonneries. Bianca servit un apéritif dînatoire. Puis, sur ces entrefaites, Madame la colonelle proposa un cigare au colonel, ce dont il accepta volontiers. Lorsque la flamme eut embrasé l’extrémité du havane, des volutes de fumée bleutée s’étiolaient dans l’espace convivial. Choche toussotait, la brave mère Denise se raclait la gorge. Indifférent à ces manifestations désapprobatrices, Bibiche offrit néanmoins des havanes aux autres invités. Quelques minutes plus tard, le salon était embrumé. Mais chaque fumeur inspirait et expirait avec avidité. Puis la sonnette de l’interphone retentit bruyamment. Bianca ouvrit la porte, et l’idiot de Dgé apparut dans toute sa grandeur. L’odeur suave de ces émissions de fumée lui a provoqué des hauts le cœur, dès lors, tous les crapoteurs et vapoteurs éteignirent leur clope et pipe, et se calèrent confortablement dans leur fauteuil. Alors l’idiot de Dgé narra une histoire quelque peu loufoque.

C’était la période des élections. Tous les candidats fourbissaient leurs démagogies, dit-il en guise d’introduction liminaire. Mais avant d’entreprendre les multiples joutes verbales, François Hache avait organisé une méga rencontre dans son bureau pour houspiller et vitupérer tous les pollueurs du monde, y compris ceux qui envoient des pétards contre les Chrétiens.

Lorsqu’il eut terminer ses récriminations, ses lamentations, et signé les résolutions pour protéger la création de Dieu, et après avoir verbeusement palabré sur la pollution mentale, François Hache et ses collabos entreprirent une violente campagne pour anéantir leurs redoutables adversaires retranchés quelque part en Vendée et dans quelques départements circonvoisins.

Mais avant de partir à la conquête de l’Ouest, François Hache sollicita le concours de Charles Sanson pour la décapitation du citoyen Capet, candidat inscrit en tête de liste F.N. de cette région. Puis, lorsque le bourreau eut accompli son oeuvre sépulcral, les peuples extra européens informés par l’agence AFP de cette ignominie, entreprirent une vaste migration punitive. Leur but était d’interpeller les responsables coupables de ce régicide, et de les confier à Charles Sanson

La baronne du Poitou-Charentes, baptisée « la force tranquille », cultivait son potager selon les méthodes dites biologiques et sélénologiques, conformément aux nouvelles directives agricoles issues de la récente rencontre COP.21. Lorsque la lune était à son périgée, elle battait son beurre selon la tradition charentaise, et lorsqu’elle était à son apogée, elle semait à tout vent.

Pendant ce temps, le Conte Emmanuel Valsinsky ayant renié cent fois sa foi chrétienne, et après avoir goulûment absorbé un coq au vin la veille de son reniement, entreprit une vaste campagne de déchristianisation. L’exhibition des crèches publiques était interdite, l’enseignement des évangiles, proscrits, et toutes les manifestations votives étaient soumises à l’autorité de l’ayatollah communal qui dirigeait d’une main de fer, suite à une amputation punitive, l’administration communale. De nombreux prêtres et fidèles perdirent la vie, des monastères fermèrent les portes, et quelques religieux se défroquaient pour protéger leur vie, ce qui ne les empêcher nullement d’évangéliser secrètement les citoyens confondus entre l’islam, la laïcité, et le christianisme.

Maria Tobianovsky institua le« Tribunal criminel extraordinaire », parfois appelé tribunal « révolutionnaire » Dès lors, tous les traîtres à la patrie et tous les christianophiles et les islamophobes et les suppôts du F.N. furent jugés et condamnés à s’expatrier dans les pays du proche orient, afin de professer librement leur foi.

Le sentencier Mario Burgotti, adoubé par les socialistes maçonniques, usait et abusait de son autorité qui lui était conférée pour envoyer à l’échafaud tous les suppôts du F.N., y compris la putain de la République, Charlotte Corday qui aurait zigouiller Jean Paul Marat au cours de ses rituelles ablutions purificatrices.

En qui concerne le conte Alexandre de Montebourg, célèbre pour ses mélanchonades et ses facondes péroraisons, il interdisait sous peine de graves sanctions, l’exhibition des crèches et des symboles liés au christianisme. Son objectif était d’effacer de la mémoire collective tout ce qui avait trait au christianisme et au F.N..

Dans les écoles publiques et privées, Nicole Voila Benakassem chargée de l’instruction publique, expurgea les manuels scolaires toute la sainte histoire du christianisme, entachée par les innombrables persécutions.

Telles étaient les nouvelles résolutions imposées au peuple stigmatisé par les élucubrations des socialistes maçonniques.

Nonobstant les nouvelles orientations politiques, la Marine nationale s’était réfugiée dans un port breton en attendant l’instauration de la république islamique de France (R.I.F.) Cette sage décision évita de justesse une guerre civile, conflit redouté par les socialistes maçonniques soucieux de préserver leurs privilèges et d’accomplir leur machiavélique dessein.

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 18:06
LE QUARTERON SOCIALISTE

Bibiche et Bianca, le colonel et Madame la Colonelle, Choche et la brave mère Denise, attendaient patiemment l’idiot de Dgé, conteur émérite en loufoqueries. L’attente était longue, très longue. Alors on servit une énième tisane et l’on mit en marche la télé qui se fit l’écho des turpitudes Hollandistes. Le barbu speaker engoncé dans sa djellaba écrue, enturbanné et babouché, était pathétique quand il annonçait les récentes pérégrinations hollandistes, lorsque soudainement, l’idiot de Dgé sonna au parlophone.

-Qui c’est, demanda Bianca à son interlocuteur ?

-C’est pas moi, répondit l’idiot de Dgé. Bref, Bianca ouvrit la porte et quelques instants plus tard, toute la maisonnée était euphorisée. L’idiot de Dgé apprécia cet accueil, et sans plus tarder, il narra une histoire onirique qui laissa pantois son auditoire

Tout commence le jour où les Chrétiens de la Gaule accueillirent chaleureusement une horde d’amis Musulmans persécutés dans les pays mahométans, dit-il en guise de préambule. Au fil des mois, les pauvres Gaulois réputés pour leur hospitalité, étaient trahis, terrorisés. Les vertus chrétiennes méprisées, et de nombreux sites chrétiens étaient souillés. Les exactions des allogènes étaient illimitées, à tel point qu’ils imposaient la consommation de viande halal, tandis que leurs prières ostentatoires troublaient la douce quiétude longtemps préservée par la civilité des Gaulois. Dans quelques villes ils se ghethoïsaient et interdisaient l’accès aux indigènes.

-C’est grave ça, dit Bianca, révoltée par ce comportement inadmissible. Certes, repris l’idiot de Dgé mais ce qui est encore plus grave, c’est le laxisme des socialistes maçonniques qui sont coupables et responsables de ces agissements.

L’assemblée était choquée. Bibiche prédisait une invasion et une soumission totale des Chrétiens à Satan si nous ne réagissons pas. Madame la Colonelle affirma de son côté que Dieu interviendra pour délivrer les Chrétiens. Bref, l’idiot de Dgé reprit le cours de cette affligeante histoire en affirmant que Leurs exactions se multipliaient, et que le spectre de la charia planait au dessus de certains quartiers, dont l’accès était interdit aux autochtones.

En attendant le secours Providentiel, le quarteron socialiste maçonnique, François Hache, Juan Emmanuel Valsinsky, Maria Tobianowsky et la baronne du Poitou-Charentes, prirent la poudre d’escampette, laissant femmes et enfants à un triste destin. François Hache pilotait une C4 Citroën, fruit d’un dur labeur de salariés blancs, noirs et métissés. Quand le quarteron de fuyards arriva à Berlin, nation accueillante pour les persécutés de tout poil, il fut chaleureusement accueilli par la baronne Merkosy, bourgmestre indéboulonnable de cette mégapole cosmopolite. Le peuple enthousiaste l’acclamait avec une frénésie indescriptible. En effet, le sol tremblait, le soleil s’éclipsait, le ciel se lézardait, et les inquiétants nuages s’amassaient sur le théâtre de l’invraisemblable. Lorsque la manifestation d’accueil prit fin, Merkosy remercia son peuple obséquieux et François Hache méditait à propos de cet accueil et celui qui lui est traditionnellement réservé en France au cours de ses bains de foule

-Diantre ! Lança soudainement la brave mère Denise.

Après la stupéfaction de la brave mère Denise, l’idiot de Dgé reprit le cours de son histoire. Lorsque la sérénité se substitua au désordre dit-il, François Hache s’achemina vers son hôte. Ceci se traduisit par un corps à corps époustouflant, tant était forte la cordialité dans les relations entre les deux nations. Puis, après avoir protocolairement baisé la bourgmestre, François Hache remit les clés d’une autre C4, gage d’une ineffable amitié. Mais la baronne Merkosy refusa ce somptueux présent, sous prétexte qu’un pauvre Gaulois à la recherche d’un emploi, apprécierait ce cadeau.

-Té Pardi, Lança Bianca qui roule dans une auto antédiluvienne, c’est pas moi qui refuserait une C4.

Certes, reprit l’idiot de Dgé, avant de dépeindre la dépitude de François Hache affecté d’un bégaiement qui compliquait son argumentaire. Ce qui ne lui a pas empêché de dire à l’offensée, qu’elle ne sait pas ce que Citroën a fait pour elle et pour nous. Bref, la baronne Merkosy accepta bon gré mal gré ce présent, et offrit à son tour une auto Wolkswagen.

Hélas ! François Hache refusa la belle allemande. « Nein tanke, verboten, das auto, das pipo » La pauvre Angèle Merkosy était outrée, confuse, désemparée, trahie, blessée au plus profond d’elle même. Insultée dans sa propre langue, elle annonça à la foule encore présente que François Hache, refusant de rouler en allemande, venait de rompre les liens qui unissaient les deux pays depuis que les armes se sont tues.

Après ce divorce, Bianca rétorqua avec la finesse de la simplicité, que Nicolas Esse eut été en cette occurrence plus courtois et plus diplomate.

Bref, la teutonne baronne objurgua François Hache de prendre la poudre d’escampette. Et lorsque le sieur Hache eut tourné les talons, la pauvre bourgmestre se consola auprès des siens qui attestèrent que les innombrables migrants réputés pour leur courtoisie et leur reconnaissance ineffable, seraient désireux de rouler en allemande, fut-elle écologique ou polluante.

Donc, François Hache et consort poursuivirent leur périple vers les pays mahométans, réputés pour leur hospitalité et la dolce vita. Mais, fatalité, un désordre inextricable y régnait.

-Bien sur ! Lança furieusement la brave mère Denise, c’est Georges Deux Beule You Obama qui guerroie contre le tzar Vladimir Raspoutine.

Certes, reprit l’idiot de Dgé, mais les Chrétiens étaient les principales victimes.

T’inquiètes pas Dgé, demain la cour européenne jugera les criminels, affirma Bianca en proie à une indescriptible tristesse.

-Non, Dieu, le vrai, surenchérit Madame la Colonelle.

Après ces rassurantes affirmations, l’idiot de Dgé reprit le cours de son histoire. Les sirènes hurlaient furieusement pour annoncer un proche bombardement, dit-il. Dès lors, François Hache et consort abandonnèrent leur auto et se réfugièrent sous un immense cèdre. Leur auto fut décapitée. Alors François Hache et ses collabos dépités, entreprirent un biathlon à inscrire dans le livre des records. Jamais un Gaulois ou une Gauloise n’eut surpassé l’exploit de Philippidès, soldat grec qui couru à perdre haleine pour annoncer la victoire de l’armée Grecque sur les Mèdes en 491 avant J-C.

-Ils auraient du courir pour annoncer la chute de lislame, rétorqua Bibiche plein de sollicitude à l’égard des Chrétiens. Impossible, reprit l’idiot de Dgé, il est mort en montant sur la plus haute marche du podium.

-Arrête Dgé, t’es de Marseille, lança Bianca, interloquée par cette performance sportive. A propos de Marseille, reprit l’idiot de Dgé, François Hache et ses collabos traversèrent la Méditerranée à la nage. Puis lorsqu’ils atterrirent sur le sol gaulois, ils étaient abasourdis, terrorisés. Une horde de Musulmans s’était emparée de Narbonne. Après les nombreuses razzias, ils détruisirent Nîmes et la rive droite du Rhône jusqu’à Sens.

-Nom de Zeus, lança furieusement la brave mère Denise, il n’y avait personne pour défendre la Gaule, où étaient donc passés Nicolas Esse et la Marine nationale ?

Chut, dit l’idiot de Dgé, avant d’annoncer que 100 mille musulmans qui assiégeaient Toulouse depuis un certain temps, furent délogés grâce au duc d’Aquitaine et Charles Martel. La Marine nationale étant inexistante. Les belliqueux musulmans prirent la poudre d’escampette, mais revinrent à la charge après avoir contourné les Pyrénées vers l’est, ils remontèrent jusqu’en Aquitaine pour saccager Bordeaux, les pays de Loire et enfin, assiéger la baronnie du Poitou-Charentes.

Lorsque la baronne eut constaté cette déferlante migratoire vindicative, elle était décoiffée tant son émoi était immense.

-Heureusement que Charles Martel délogea ces intrus belliqueux, dit stoïquement le Colonel. Le fait est, reprit l’idiot de Dgé, que Charles Martel et le comte de Provence, Guillaume II, étaient des bons patriotes.

En tout cas, François Hache et consort traversèrent le théâtre des hostilités et arrivèrent dans la capitale francilienne non sans avoir fait une halte en Vendée empourprée par le sang des fidèles Chrétiens royalistes qui tombèrent sous l’épée des républicains laïques.

Un nouveau théâtre de la désolation se présentait devant les rescapés des champs de batailles franco-françaises. Les représentants du Tiers état, Mirabeau, Mounier, Bailly, La Fayette, Camille Desmoulins et Louis XVI discutaillaient vaillamment pour instaurer les prémices de la Constitution. De nombreuses têtes tombèrent, à commencer par De Launay, gouverneur de la bastille. Puis, les hérauts, les pourfendeurs, les droitistes et les gauchistes, les Montagnards, les Girondins, et leurs mentors Marat, Danton, Saint Just et les autres, s’entretuèrent, puis le sanguinaire Robespierre ferma la porte du théâtre de l’enfer.

Face aux horreurs de la république laïque, le quarteron de socialistes ne savait que faire. La baronne du Poitou-Charentes suggéra d’émigrer dans un pays où règne la quiétude et la dolce vita, en auto-stop. C’est ainsi que François Hache leva son pouce pour arrêter une C4 Citroën. Arrivée à la hauteur de François Hache et consort, le passager leur adressa un doigt d’honneur. Ce geste déplacé offusqua Maria Tobianowsky qui reconnut Louis XVI, auteur de cette infamie et coupable du désordre social. Emporté par une furie indescriptible, François Hache invita ses collabos d’infortune à émigrer dans un autre pays mahométan là où règnent la quiétude et la dolce vita…

Hélas ! le quartéron de collabos errèrent sur la terre entière, ne sachant où trouver la paix, car François Hache rappela à ses compères que les hommes capturés par les musulmans étaient emmenés dans des camps de castration, tandis que les femmes d’âge nubile dans des harems .

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25 septembre 2015 5 25 /09 /septembre /2015 15:48
LES SOIXANTE DOUZE VIERGES

Tous les amis de Bibiche et Bianca étaient réunis devant la cheminée, attendant languissamment la venue de l’idiot de Dgé. Le feu crépitait joyeusement, mais le temps d’attente était aussi long que la démagogie socialiste. Alors, pour vaincre cette monotonie, Bibiche servit des juleps spiritueux accompagnés de mignardises à une cadence relativement élevée. A la fin de cet apéritif dînatoire, toute la maisonnée était passablement avinée, sauf Bianca, réputée sobre, qui interrogea ses acolytes pour savoir qui serait la prochaine victime de la nouvelle histoire de l’idiot de Dgé.

A la fin de cette interrogation, quelqu’un toqua à la porte. Les coups répétés troublèrent l’enivrante veillée. C’était le chaînon manquant. On ouvrit et on l’introduisit l’idiot de Dgé. Tous ses amis l’accueillirent chaleureusement, le congratulèrent avec une effusion de joie qui rendrait jalouse la baronne du Poitou-Charentes. Quelques instants après, il se confondit dans le groupe d’amis en prenant part à la libation collective, puis conta sa nouvelle histoire faribolesque.

C’est une histoire authentique, dit-il en guise introduction. Bref, il s’agit du pauvre François Hache profondément dépité, et habité précocement par la future tristesse populaire, depuis que sa dernière favorite lui a présenté sa lettre de démission. Dès lors, il écrivit une lettre à ses amis pour leur dire que les larmes et la tristesse n’appartiennent pas qu’aux femmes. A la fin de cette citation, Madame la Colonelle affirma à son tour, que si Salomon pleurait, c’est parce qu’il était un homme. L’idiot de Dgé acquiesça ces curieuses citations, puis il reprit le déroulement de son histoire. Il était inconsolable, dit-il. Même Nicolas Esse tenta de ragaillardir son humeur en lui affirmant que la fidélité dans un couple marié, pacsé, ou concubiné, était aléatoire.

Face à cette évidence non consolatrice, François Hache sollicita l’aide de Dominique, réputé expert en la matière. Hélas ! Dominique ayant endossé la tunique de laine écrue et un scapulaire avec un capuce intégré, ne lui était d’un quelconque service. Ainsi donc, François Hache consulta son directeur de conscience.

Ce dernier le rasséréna, car le jour viendra, lui dit-il, qu’en raison de sa faculté à considérer la transhumance humaine contemporaine avec clairvoyance, et qu’en raison de son inconditionnelle adhésion au culte satanique, Satan lui offrira 72 vierges dans le monde obscur.

Quoi ! Lança vivement la brave mère Denise interloquée par cette curieuse récompense. Septante deux vestales ?

Ce pluriel, évidemment, surprit l’auditoire, mais l’Idiot de Dgé poursuivit le cours de cette loufoquerie en affirmant que depuis cette promesse abracadabrantesque, François Hache, pressentant un fin inopinée, porte un sous vêtement ignifugé avec une protection renforcée autour de son pénis qui devra honorer les 72 vierges pour l’éternité.

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18 septembre 2015 5 18 /09 /septembre /2015 05:06
LA BÊTE  A SEPT TÊTES

Bibiche et Bianca, le colonel et Madame la Colonelle, Choche et la brave mère Denise, attendaient avec impatience l’idiot de Dgé dans la petite maison dans la prairie. Or donc, l’absence prolongée de l’orateur entraîna les antédiluviens amis de l’idiot de Dgé dans le champ des supputations et des oiseuses prophéties. Bianca subodorait des aventures extraordinaires, le colonel pressentait une nouvelle histoire loufoque, tandis que la brave mère Denise pressentait une couillonnerie voltairienne. Les grogs se succédaient avec une rapidité croissante, et l’euphorie collective envahissait le salon de la causerie. Puis le tintinnabulement de la sonnette du parlophone dissipa l’euphorie collective. On ouvrit séance tenante la port et l’on accueilli le préposé de feu PTT, lequel remit en main propre une lettre recommandée,non sans avoir pris au préalable, part à la beuverie amicale.

Dès lors, et subséquemment, la maîtresse des lieux incisa l’enveloppe pour y extraire le contenu. Donc, présentement parlant, voici le contenu lu à haute et intelligible voix de Bianca. « Ainsi donc, nonobstant et néanmoins, vu que cahusaquement parlant, les hommes mahométans filent à l'anglaise pour y séjourner gracieusement au frais du contribuable et couillonner les Gaulois candidement gaucho bobo, or donc les femmes susdites courageuses et cependant patriotiques, défendent témérairement leur pays, gage que le sexe faible, dit par les phallocrates, machistes, et autres homonymes, accèdent à une légitime émancipation, vu que par le passé nos mères et nos grand-mères ont acquis le sésame qui ouvre les portes de la liberté, de l’égalité et de la parité. Mais cela disant, puis subséquemment, cela faisant honte aux réfugiés délaissant la mitraillette pour prendre la poudre d’escampette . . .»

Tous les amis de l’idiot de Dgé sombrèrent dans la consternation.

Ce salmigondis de tristes mots ne peut-être qu’un message codé, affirma la brave mère Denise, quelque peu dubitative.

Probablement, probablement, répliqua stoïquement le colonel après avoir vider son quatorzième verre.

En tout cas, il y a anguille sous roche, dit la brave mère Denise, selon la formule populaire.

Oué, oué, surenchérit l’inquisiteur Bibiche, y faut que je réfléchisse avant de dire n’importe quoi.

A moins que, ils fuient, ils migrent en France, lança subitement Madame la Colonelle.

Ma foi, répliqua Choche, pourquoi pas !

A la fin des ces curieuses affirmations, le petit groupe d’amis vit passer Ravaillac qui courait à perdre son souffle. Dès lors, le petit monde de l’idiot de Dgé, se rua à la fenêtre et demanda à l’unisson : où allez-vous donc, monsieur Ravaillac ?

Hélas ! Pas de réponse. Ravaillac allait bon train, un couteau à la main.

Quelques verres plus tard, la cause de cette course marathonienne de Ravaillac fut élucidée par la brave mère Denise.

En fait, dit-elle, Ravaillac pourchasse la bête à sept têtes. Les sept têtes sont l’antichrist, la religion qui honore la guerre, la résurrection du califat, le blasphème, le faux prophète, la banque mondialisée, et les 666 livres sacrés. . .

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19 août 2015 3 19 /08 /août /2015 17:59
LES VACANCES DE FRANCOIS

LES VACANCES DE FRANCOIS

C’était au mois d’août, tous les pieux citoyens attendaient le 15 pour vénérer la sainte Vierge. Telle était l’introduction liminaire de l’histoire concernant l’épopée aoûtienne de François Hache et consort. Les fidèles amis de l’idiot de Dgé étaient dans l’expectative. Quelles étaient les nouvelles turpitudes de François Hache, se demandaient-ils ?

A la fin de cette interrogation, l’idiot de Dgé affirma qu’au début du mois d’août, François Hache, exténué par sa lourde responsabilité professionnelle, mit son officine en stand bail pendant la première quinzaine aoûtienne.

Tôt le matin du premier août, François Hache, juché sur sa mobylette, entreprit une longue pérégrination estivale. Après avoir abandonné la Terreur de 93 et 94, il fit une halte dans le rose du 31. Là, une foule nombreuse d’opposants au déviationnisme sociétal, maugréait contre le célèbre cyclomotoriste. Mais il y avait aussi une frange de la population malcontente qui se bidonnait en voyant cet hurluberlu à califourchon sur cette bécane d’un autre temps.

François Hache dépité par cet accueil quelque peu froid, tourna violemment la poignée de son guidon pour mettre les pleins gaz à son véhicule. Le démarrage fut foudroyant, le crissement du pneu de la roue motrice couvrit les cris des malcontents, et la bécane atteignit une vitesse de croisière répréhensible.

Quelques kilomètres plus tard, le GPS de sa mobylette indiqua la présence d’un radar dans un proche avenir. François Hache dut réduire considérablement la vélocité de son engin. Puis, lorsque la zone radarisée fut dépassée, il stoppa violemment sa mobylette à cause d’une méga manifestation de producteurs de porc. Sur les banderoles revendicatives, on pouvait lire « du porc pour tous », « égalité pour tous », « le christianisme pour tous » « hétéro pour tous » etc. A la fin de cette énumération des légitimes revendications, la brave mère Denise grommela quelques imprécations, mais l’idiot de Dgé poursuivit sa narration.

En ce qui concerne Madame la Colonelle qui déteste le goret, elle affirma péremptoirement, qu’au nom de la laïcité, tous les citoyens devraient consommer cette viande, fut-elle halal ou non.

Bref, l’idiot de Dgé reprit la route qui conduisit François Hache à destination.

-Avec sa mobylette, il n’est pas prêt d’arriver, lança soudainement Bianca.

-Oué, Lança stoïquement la brave mère Denise, très attentive à l’écoute de cette ubuesque histoire.

Le fait est, que son parcours était perturbé par de nombreuses manifestations sociales. Les maîtresses d’école par ci, les péripatéticiennes professionnelles par là, ainsi que les taximen, les journalistes, et les clandestins qui revendiquaient moult revendications. Mais François Hache n’avait cure du mécontentement de la populace.

Il méprisait également les radars, se moquait éperdument de la souffrance du mini moteur de son cyclomoteur vintage, oubliait les règles élémentaires de la sécurité routière. En fait il pilotait son engin sans permis de conduire, sans assurance et sans carte grise. C’était un sans papier qui narguait impunément l’autorité et la discipline citoyenne. Son objectif était d’arriver à bon port, le plus rapidement possible.

Effectivement, François Hache arriva à Vallauris, lieu privilégié pour les riches estivants à la recherche d’une immense plage dépourvue de ses riverains et de ses bruyants aoûtiens. Ses amis l’attendaient avec impatience. Alors, sans plus tarder, François Hache se déculotta et plongea dans le grand bleu. Nadia Belkassème, revêtue d’un niquabkini noire comme une nuit sans lune, le suivit de prêt. Le comte Alexandre de Montebourg, revêtu d’un maillot de bain à bretelle tricolore, semblait sombrer dans la profondeur abyssale de la Méditerranée, tant était longue sa remontée à la surface de l’eau, tandis que la baronne du Poitou-Charentes luttait avec acharnement contre la pollution pélagique. Le baron François Fillonetti, adepte du nudisme, se dorait la pilule au soleil hardent. Nicolas Esse, engoncé dans un pantacourt long comme la misère du peuple, admirait ces aoûtiens pas comme les autres. Dominique, étendu sur cette vaste plage, n’avait d’yeux que pour une ravissante créature qui rappelait étrangement Nafissatou. Un autre François, béarnais semble t-il, était étendu sur une serviette de plage. Les pages de son livre ouvert, étaient maintenues par un galet, le temps de méditer sur les premières sourates du prophète. Son souhait était parai-il, de transcrire les sages résolutions du prophète au bas de notre Constitution, afin d’apprendre au peuple gaulois la bienséance et le savoir vivre sans haine et sans violence. Enfin, Maria Taubianowsky fit une entrée spectaculaire dans les eaux de la Méditerranée, non sans avoir retiré au préalable, une main devant et une main derrière, qui, l’une et l’autre, avaient pour mission de protéger une légitime pudeur dans cet espace où des vacanciers prônent le libertinisme et d’autres dénoncent cette liberté âprement acquise par les socialistes maçonniques et libres penseurs. Bref, tout le monde avait adopté un style ou un genre de conception de la bronzette qui décoiffait les riverains chevelus et chauves.

Ainsi donc, se déroulaient les vacances de François Hache et consort. Mais Saint Maximilien sonna le glas de l’oisiveté. François Hache et consort se rhabillèrent, et prirent le chemin du retour non sans avoir promis aux Vallauriens de revenir l’année prochaine, si Dieu le veut.

Le parcours semblait interminable, monotone, jusqu’au moment où François Hache et ses complices rencontrèrent une méga manifestation de Chrétiens en colère à cause de la lâcheté nationale devant les massacres de Chrétiens commis par nos amis musulmans. Puis, avant que le coq ne lance trois fois son hymne stridulant, le tintinnabulement des cloches et clochettes assourdissaient les vacanciers sur le chemin du retour. François Hache et ses suppôts étaient désappointés, abasourdis. Juan Emmanuel Valsinsky, envahi par le remord, annonça au contestataires qu’il renonçait à la remigration des Chrétiens et des Juifs. François Hache prit le relais pour annoncer la dissolution du mariage dénaturé, Maria Taubianowsky promit d’éradiquer la voyoucratie, François le Béarnais jura sur la bible qu’il se convertira au christianisme lorsqu’ils aurait fini la traite de ses Françaises Frisonnes pies noirs, et engrangé le foin. Dominique victime de la ménopause, promit de mener une vie d’ascète. Nafissatou s’engagea à reprendre son activité rapidement, car de nombreux clients attendent son retour avec impatience, et la baronne du Poitou-Charentes éructa dans le mégaphone des gasconnades, tandis que le comte de Montebourg rasséréna les producteurs de porc, en annonçant une substantielle revalorisation du prix de la viande de porc pour les Chrétiens et un tarif préférentiel pour les non Chrétiens.

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28 juillet 2015 2 28 /07 /juillet /2015 17:49
LA BASTILLE

Dans le petit salon de Bibiche et Bianca, le colonel et Madame la Colonelle, Choche et la brave mère Denise, étaient rassemblés autour de l’idiot de Dgé qui, une fois de plus, narrait une histoire extraordinaire, une histoire riche en digressions et truffée d’antonymes.

L’histoire commence en 1789, et se termine en 1794, dit-il en guise de préambule. Le peuple malcontent dénonçait véhémentement, l’incurie de François hache et la dépravation des mœurs. Le roi des Belges, la teutonne Angella, et le Tzar Raspoutine, percevaient les échos de cette méga grogne, tant étaient forts les cris du peuple.

François Hache était désemparé. Alors le comte Alexandre de Montebourg lui suggéra d’embastiller tous les fauteurs de trouble, afin d’endiguer l’ardeur de la libertine populace privée de liberté.

Les femems, les duos gais, les libertins, les anticléricaux, les citoyens porteurs d’une croix de Tau, les opposants au mariage dénaturé, les réfractaires du LGBT, les hétérosexuels, et tous les citoyens pacifiques qui professaient la violence et la haine, devinrent des locataires de la Bastille, sauf le libidineux Dominique qui résidait alors au pays de l’oncle Tom. Les Saints furent désinscrits de l’almanach des P.T.T., et malheur à ceux qui oseraient prononcer une citation ou une référence liée à ces vertueux chrétiens.

-Il va faire une gueule le facteur, lança stoïquement la brave mère Denise, habitée par une inculture longue comme le fleuve entre la Baie de Somme et le Delta.

A la fin de cette curieuse comparaison, l’idiot de Dgé annonça à ses amis que malgré la dictature socialiste maçonnique qui battait son plein, de nombreux cathos non pratiquants scrutèrent l’apocalypse de Saint Jean, et devinrent des pieux transfuges dans l’anonymat.

-Madame la Colonelle interrompit le narrateur pour rappeler à l’auditoire, qu’il y avait de nombreuses profanations des lieus de culte chrétiens.

Certes, reprit l’idiot de Dgé. Mais à cette époque, il y eu un regain de la foi malgré les horreurs commises par les suppôts de Nimrod.

Bref, le glas sonna la fin de la Terreur. Maria Taubianowsky libéra tous les prisonniers de la Bastille et ordonna la destruction immédiate de cette résidence de grand standing bicentenaire.

-Quoi ? Interrogea la brave mère Denise interloquée.

-Oui, reprit Bianca, il y avait un concierge pour chaque prisonnier.

Après cette singulière affirmation, Dgé affirma qu’il était temps que les horreurs cessent. De nombreuses places de la Révolution étaient empourprés par le sang des victimes de la folie des pères de la République laïque, et des jugements arbitraires y étaient prononcés sans le moindre scrupule.

Puis, lorsque la veuve Louise fut administrativement parlant réformée, le peuple recouvra la libéré et la dignité. François Hache sollicita le concours du comte Juan Emmanuel Valsinsky pour remettre la France sur le droit chemin. Nicolas Esse fit voter une loi pour gagner plus en travaillant plus, car disait-il le travail est un riche trésor. La république laïque devint république catholique. Le mariage sacré fut réintroduit et les bonnes mœurs, rétablies. La baronne de Poitou-Charentes succédant à Nadia Ben Kasem, abolit l’enseignement du genre pour les petits et les grands. François Fillonetti fit voter une loi pour éradiquer l’amalgame. Les toilettes réservées pour les transgenres furent détruites par les mêmes ouvriers qui détruisirent la Bastille. La voyoucratie était abolie. La cochonnaille tant appréciée par les Français fut réintroduite dans les menus des cantines. Et tous les dimanches les braves curés annonçaient avec enthousiasme la Parole de Dieu.

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Published by ENZO - dans SOCIETE

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